L’As­so­cia­tion

Ins­ti­tut suisse de
brain­wor­king

Étapes clés

1. Ren­contre entre Emi­lio Fon­te­la & Fran­çois Keller

Le pro­jet de l’Institut résulte d’échanges noués à la fin des années 1990 entre l’économiste Emi­lio Fon­te­la alors pro­fes­seur à l’Université de Genève et de Madrid et Fran­çois Kel­ler alors inter­ve­nant dans le sec­teur de l’insertion pro­fes­sion­nelle et de l’entrepreneuriat.

Leurs échanges por­taient entre autres sur les nou­veau­tés à pro­mou­voir dans l’économie pro­duc­tive par le biais de l’éducation, dans une défi­ni­tion élar­gie du rôle qu’elle joue dans les réa­li­tés sociales, cultu­relles et économiques.

Fran­çois Kel­ler inter­ve­nait déjà depuis de nom­breuses années dans la ges­tion de struc­tures d’ac­cueil qui avaient pour but d’ac­com­pa­gner des per­sonnes éloi­gnées du tra­vail ou de la for­ma­tion en rai­son de tra­jec­toires de vies mar­quées par d’im­por­tants obs­tacles, voire par des exclu­sions. Le fait de renouer des liens entre ce que vit une per­sonne, ce qu’elle peut tra­vailler à par­tir de son propre ques­tion­ne­ment et ce qu’elle peut ame­ner à la col­lec­ti­vi­té, lui sem­blait un enjeu de taille, car d’une ques­tion en impasse peuvent tou­jours res­sor­tir des res­sources pour pen­ser, pour se mettre à faire et à avan­cer dans la vie. Cela deve­nait pour lui un défi cultu­rel et pra­tique, de socié­té, à rele­ver avec chacun‑e pour réduire le risque d’exclusion.

2. Consti­tu­tion de l’Institut suisse de brainworking

Les membres asso­ciés à la consti­tu­tion de l’association en 2006 étaient eux aus­si enga­gés dans des acti­vi­tés pro­fes­sion­nelles mobi­li­sant le tra­vail d’équipe et la direc­tion de pro­jets (édu­ca­tion, droit, jour­na­lisme, rela­tions inter­na­tio­nales, inser­tion sociale, ingé­nie­rie de la for­ma­tion, inno­va­tions éco­no­miques et édition).

3. Ouver­ture du siège à Genève

L’association dis­pose d’un ate­lier de 60 m² qui accueille jusqu’à dix per­sonnes sur les Voies cou­vertes à Saint-Jean et d’un stu­dio de pro­duc­tions mul­ti­mé­dia annexe. L’Institut est un centre de res­sources pour déve­lop­per des pro­jets dans les domaines de la rédac­tion et plus lar­ge­ment de la com­mu­ni­ca­tion, du per­fec­tion­ne­ment et de l’in­ser­tion socio-pro­fes­sion­nelle. Le siège a été ouvert pour que chacun‑e puisse mobi­li­ser ses apti­tudes intel­lec­tuelles, rela­tion­nelles, com­mu­ni­ca­tion­nelles et col­la­bo­ra­tives en lien à ses propres objec­tifs ou projets.

4. Déve­lop­pe­ment de pro­jets éditoriaux

Dans un pre­mier temps, les fon­da­teurs se sont réunis pour lire et publier des textes (équipe de rédac­tion). La réa­li­sa­tion d’interviews avec des acteurs des affaires éco­no­miques, cultu­relles et sociales sur des sujets de socié­té est depuis lors le moteur des acti­vi­tés de l’association.

Les inter­views ont abou­ti à la paru­tion de livres des­ti­nés au grand public. Ces publi­ca­tions ain­si que la pro­duc­tion de docu­men­taires ont don­né lieu à des mani­fes­ta­tions orga­ni­sées par l’Institut.

5. Pres­ta­tions d’insertion socio-professionnelle

Dans sa mis­sion d’insertion, l’institut accueille des per­sonnes avec ou sans for­ma­tion, avec ou sans expé­rience pro­fes­sion­nelle, avec des degrés plus ou moins impor­tants d’atteinte à leur inté­gri­té et à leur san­té. Il leur offre la pos­si­bi­li­té de s’intégrer à des équipes de tra­vail où sont retrans­crits des inter­views et fabri­qués des conte­nus des­ti­nés à la publi­ca­tion. Ces acti­vi­tés sont dans leur ensemble un excellent sup­port pour que les béné­fi­ciaires de nos pres­ta­tions puissent amé­lio­rer leur com­mu­ni­ca­tion pro­fes­sion­nelle et s’im­pli­quer dans des pro­ces­sus de tra­vail productif.

6. Pres­ta­tions de for­ma­tion continue

Acteur de la for­ma­tion en Suisse, membre de la FSEA, l’Institut est titu­laire de la cer­ti­fi­ca­tion de qua­li­té edu­Qua. Il crée et dis­pense des for­ma­tions en lien à ses domaines d’ac­ti­vi­tés (le brain­wor­king, la rédac­tion, la com­mu­ni­ca­tion, l’employabilité, la ges­tion des risques psy­cho-sociaux, la res­pon­sa­bi­li­té socié­tale des entreprises).

7. Recherche et déve­lop­pe­ment (RSE, ODD)

L’institut est un labo­ra­toire pour les nou­velles façons d’organiser le tra­vail, d’entreprendre et de pré­ser­ver la san­té. Il est atten­tif aux besoins qui se des­sinent dans la socié­té en termes de mana­ge­ment et d’aptitudes trans­verses. Son sou­hait est de pro­mou­voir des formes d’en­tre­pre­neu­riat qui tiennent davan­tage compte des enjeux glo­baux de l’é­poque, notam­ment en matière d’équité.

Comi­té

Pré­si­dente
Ruxan­dra Stoicescu
Tré­so­rière
Katar­zy­na Konik-Attar
Secré­taire
Fan­chette Kunz
Direc­teur
Fran­çois Keller
Pré­si­dente
Ruxan­dra Stoicescu
Tré­so­rière
Katar­zy­na Konik-Attar
Secré­taire
Fan­chette Kunz
Direc­teur
Fran­çois Keller

Pour­quoi le brainworking ?

Nous misons sur l’intelligence col­la­bo­ra­tive dans nos accom­pa­gne­ments et notre mode de management.

Nous consi­dé­rons que les objec­tifs, les ques­tions et les acti­vi­tés de chacun‑e mobi­lisent l’écoute, la pro­duc­tion de nou­veaux rai­son­ne­ments, l’analyse de ce qui fait obs­tacle et la mise en pra­tique d’habiletés trans­verses. Ce sont autant d’aspects en acte dans nos pro­jets et nos pra­tiques quel que soit notre niveau de for­ma­tion, d’expérience et de responsabilité.

Aus­si bien les oppor­tu­ni­tés que les épreuves de la vie néces­sitent de la force intel­lec­tuelle et de la soli­da­ri­té dans ce qui demande à s’accomplir et à réussir.

Portrait

Si j’avais une heure pour résoudre un pro­blème, je pren­drais 55 minutes à réflé­chir au pro­blème et 5 minutes à pen­ser aux solutions.

Albert Ein­stein

La liber­té d’o­pi­nion est une farce si l’in­for­ma­tion sur les faits n’est pas garan­tie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l’ob­jet du débat.

Han­nah Arendt

La cri­tique est plus facile que la pratique.

George Sand

Le futur appar­tient à ceux qui croient en la beau­té de leurs rêves.

Elea­nor Roosevelt

Je n’ai pas échoué. J’ai sim­ple­ment trou­vé 10’000 solu­tions qui ne fonc­tionnent pas.

Tho­mas Edison

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Nous orga­ni­sons des ren­contres sur invi­ta­tion autour de sujets de socié­té : le brain­wor­king, le mana­ge­ment par­ti­ci­pa­tif, l’in­tel­li­gence arti­fi­cielle, la san­té dans le tra­vail, les droits humains, etc).

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